mardi, novembre 30

Électre


La réponse d'Électre from Maxime Brouillet on Vimeo.


Vidéo de la série effervescence.
Le projet a muté pour une collaboration avec la compagnie de théâtre Hybris qui a adapté Persona de Bergman.

Le blog de Hybris

vendredi, octobre 29

Effervescence en devenir

Voici sur quoi je travaille récemment.

Ce sont des scans directs de négatif sans travail numérique et un scan d'une planche contact, je suis de de même pas gêner.

Des vidéos viendront...

Model féminin: Éliane
Model masculin: À révéler...





jeudi, octobre 21

Jacques Rousseau

Au mois de février dernier, j'ai réalisé le premier vidéo de mon ami auteur, compositeur et interprète Jacques Rousseau.

Le projet se devait de commencer avec une chanson phare pour lui, Les enfants qui s'aiment d'après un texte de Jacques Prévert et premièrement interpréter par Juliette Gréco sur une musique de Joseph Kosma.

Première expérience de co-réalisation remplie d'apprentissage.
Le bagage musical de Jacques s'est depuis multiplié et des compositions vaudraient la peine d'être produites, mais ce n'est pas une raison de nier ce qui a été fait.




mardi, juillet 13

Lemonade

Cocorosie-Lemonade from [PIAS] Recordings on Vimeo.


Cocorosie-Lemonade from [PIAS] Recordings on Vimeo.


Réalisé par Emma Freeman dont je peine à trouver quelconque information, engouement du mystère.


mercredi, juin 23

Les amours imaginaires


Beaucoup a déjà été écrit sur Les amours imaginaires de Xavier Dolan et peu d'attention j'ai porté à la sortie médiatique et aux critiques.

Je reviens simplement de voir le film. Je penses à pleins de trucs après avoir eu une discussion intense avec mon ami qui s'interrogeait sur la superficialité de l'oeuvre. Il entend par là que l'oeuvre est en surface, point d'idéologie, de valeurs tenus en étendards. L'amour n'est pas traité dans sa forme glorieuse et on n'explore pas non plus le drame amoureux.

Pause.

Il a raison.

Néanmoins, j'ai beaucoup aimé... car j'aime les gestes et le film en est rempli.
Je suis amoureux de l'attention aux corps, aux mouvements, formes, couleurs, aux sons et j'en passe. Le film est à propos des petites subtilités du jeux amoureux, voir du discours amoureux.
Oui je sais, la comparaison a déjà été faite, mais elle est tellement prenante. Le livre Fragments d'un discours amoureux est tout aussi superficiel, en quoi qu'il ne défend rien, ne peut pénétrer rien en profondeur. De l'amour il ne nous reste que les signes, le discours et les souvenirs de ceux-ci.

D'où l'utilisation du ralenti, signe probant d'une attention grave. Néanmoins cet exercice est trop souvent utilisé, dépolissant la beauté et le contenu des moments, puisque ce ne sont pas totalement des scènes.

Un film du phénomène amoureux, qui viendra me dire que ses premières étincelles sont pleines de raisons et de profondeurs ?

C'est un film que je défend, probablement parce qu'il est de mon époque, pour ma génération, fait dans une urgence sincère... Bien sûr, on pense à la Nouvelle Vague et alors... Qu'ont-ils de plus les jeunes réalisateurs dans les années 1960 que ceux de 2010 ? Vous me direz que c'était révolutionnaire ? Quand on regarde la série de bande-annonce de films québécois avant le film de Xavier Dolan, il y a un énorme contraste. Un univers entier les sépare, c'est flagrant. Alors oui, qu'il y est histoire ou non, je crois que le film est fait avec sincérité.



mardi, juin 15

Raisonance avec le papier




La sensation d'un papier épais contre des lèvres.

jeudi, juin 10

Si une photo pouvait être une conversation...

Une dame que j'ai croisé dans la rue et qui m'a dit:

- Vous n'avez pas froid ? ... Bon bien j'ai manqué mon autobus

mercredi, juin 9

Résonnance

Bas mauve hors d'un soulier mauve


-


Une éponge entre mes cuisses

mardi, juin 8

Résonance photographique

Dans une envie d'écrire, j'ai trouvé un concept qui me permettrait de travailler cerner l'expression juste.
Cet expression juste, je le crois encore, se trouve aussi dans la photographie.

En quelques mots, tel un Haiku, je veux écrire les éléments visuels qui me provoquent, mais faute d'appareil photo adéquat, de temps, ou simplement sans appareil, je laisse passer une photographie que j'aurais dû saisir. Pourtant, la photographie a bel et bien existée en moi pour une seconde... et je peux la tenir aussi longtemps que je la fais résonner...

dimanche, avril 18

MINA

Un peu de moi, parce qu'il me faut écrire..., ne pas être pudique, m'exhiber.


La lâcheté nous prends quand nous n'avons presque aucune obligation... et tout devient trop imposant... les quelques choses qu'il nous reste à faire, nous ne trouvons plus le moyen de le faire.


Je suis le spectateur absent et nostalgique de Mina Anna Mazzini.




Je ne veux rien faire, pour le moment.

Je veux revoir ce garçon à qui j'ai souri pendant une minute... chacun sur son trottoir...
C'était comme un Western, à croire que les duels peuvent se dérouler ainsi.

Je ne sais pas si j'ai perdu... mais j'ai fini par me retourner... avec la certitude que le temps où on se parlera viendra. Certitude dangereuse à assumer, mais ce n'est pas la première fois que je le vois... je me souviens de la première, au café, il m'a fait une bonne impression. Il m'a demandé à s'asseoir à ma table, faute d'espace. J'avais accepté, ne pouvant dès lors ne plus me concentrer sur ma lecture... épiant ses mains, son livre, parfois je pouvais me rendre au visage sans qu'il ne le remarqua.



N'est-ce pas l'inspiration de petit théâtre dans Blue Velvet et Mulholland Drive ?
De la voix féminine, puissante, plaintive, sensuel dans son offrande ? Bien qu'ici la féminité n'a rien à voir... c'est une qualité tout de même indéniable... Rares sont les masculinea qui me donnent la même joie.


dimanche, mars 21

Solo sans piano

Je m'entoure d'images, de mots et de musique en ce printemps très doux.
Triste de ne pas chuchoter des mots bêtes d'amour.

Le temps se matérialise en fin, un mur auquel je dois faire face, un mur mince, trop haut, qui ne demande qu'à tomber.

Imprimer des photos de belles personnes.

Écrire sur Raymonde April que j'aimerais connaître pour diriger ma pensée.

Je la croise pourtant, mais on se sent petit, innocent de demander une entrevue pour lui présenter son idée à propos de sa production. C'est trop bête, juste d'y penser.

C'est tout.

C'est très simple.

J'embrasse ceux que j'aimais et que je veux encore aimer.



lundi, mars 1

Même

Je n'ai pas de mots.

J'ai seulement le goût d'écrire sur mes photographies, mes vidéos, mes rencontres, mes inspirations et ma fascination grandissante pour le vêtement et l'architecture...

Mais cet espace n'est pas pour moi, il est pour cette parole qui s'éveille semble-t-il lorsque l'herbe est bien humide, encore jaune, prêt à se redresser, à grandir, à battre au vent solaire.
Lorsque la ville deviendra chaude.

Écrire sur cet autre qui me plaît lorsque je peux aligner des mots vivants.

Tout de même...



Christian Schoeler et Paul Helbers pour Louis Vuitton Automne/Hiver

lundi, janvier 11

ressasser

À bout de nouvelles inspirations.... je revisites mes plus grandes jouissances...



MATS EK - SMOKE

Dans mes errements j'ai un jour trouvé cette vidéo qui m'a boulversé....
Ensuite j'élançais mes jambes haut dans les airs, à me cogner la tête au sol.

Du même coup, je suis tombé amoureux de la grâce... Sylvie Guillem... pareille corps ondulera-t-il de nouveau.... ?



VIRGINIE BRUNELLE

Une chorégraphe d'ici... un talent fou... les mots justes, une vision claire et franche.
Le sexe n'y est pas odieux.... il est tout près... tout vrai...
d'une poésie où la mécanique tente de s'immiscer entre nos cuisses.
J'ai eu la chance de collaborer avec elle... petite porte sur ce monde de la danse en surtension qu'elle m'a ouverte.

Allez la voir à La Chapelle.
http://lachapelle.org/calendar/67/282-Foutrement/


Nouveauté sexy... surprise

Dangerous Muse... ce n'est pas fantastique, rien n'est ébranlé en moi, mais je trouves ce vidéo affriolant.