Je m'entoure d'images, de mots et de musique en ce printemps très doux.
Triste de ne pas chuchoter des mots bêtes d'amour.
Le temps se matérialise en fin, un mur auquel je dois faire face, un mur mince, trop haut, qui ne demande qu'à tomber.
Imprimer des photos de belles personnes.
Écrire sur Raymonde April que j'aimerais connaître pour diriger ma pensée.
Je la croise pourtant, mais on se sent petit, innocent de demander une entrevue pour lui présenter son idée à propos de sa production. C'est trop bête, juste d'y penser.
C'est tout.
C'est très simple.
J'embrasse ceux que j'aimais et que je veux encore aimer.
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